Le dispositif Girardin industriel outremer est un outil infaillible produisant une réduction d’impôt radicale. Celui-ci en effet est proposé aux contribuables dont l’impôt sur le revenu est supérieur à 3000 euros au moins. De plus, il jouit d’un excellent rendement, en sus de sa réduction fiscale, bien qu’il ne perçoive pas des fruits directs de son investissement.
À noter cependant que la loi Girardin industriel comporte des risques réels. Quels sont-ils et comment les contourner afin de garantir rendement et défiscalisation ?
Rappel sur le fonctionnement de la loi Girardin industriel
En quelques lignes, voici le fonctionnement du dispositif Girardin industriel :
- l’investisseur place son apport personnel au sein d’une société de portage dont il devient associé
- cette mise rejoint un fonds constitué par l’ensemble des associés afin de financer un matériel industriel
- une entreprise basée dans les DROM COM loue ce matériel pendant 5 ans, durée du portage et à l’issue de laquelle le montage expire.
Les risques émanant d’un mauvais montage
Le choix du spécialiste Girardin est crucial : celui-ci doit être sélectionné pour ses années d’expérience afin de sécuriser le dispositif pendant toute la durée requise, soit 5 ans. Ce monteur de dossier juridique représente en effet la clé de voûte de l’investissement : en savoir plus avec le groupe Profina.
Les risques provenant de l’entreprise locataire
L’entreprise locataire doit exercer dans un secteur d’activité bien défini – selon la liste officielle déterminée par décret. Ces secteurs d’activité sont cependant ceux subissant un certain ralentissement et affectant l’essor économique du DROM COM, d’où leur besoin de coup de pouce de la part de l’État par le biais de ce dispositif. Le choix de l’entreprise elle-même doit donc reposer non seulement sur le secteur d’activité présentant le moins de risque, mais aussi sur la qualité du management pour éviter toute faillite pendant la période règlementaire.